Les risques associés aux MGFs
Les mutilations génitales féminines ne présentent aucun avantage
pour la santé et sont préjudiciables à bien des égards aux jeunes filles
et aux femmes. Elles comportent l’ablation de tissus génitaux normaux
et sains ou endommagent ces tissus et entravent le fonctionnement
naturel de l’organisme féminin. Les femmes victimes de MGF courent donc des risques de complications médicales.
Ces complications diffèrent selon le type de MGF réalisé, les outils utilisés mais également le niveau médical de la personne qui est en charge de l'opération.
Complications à court terme: fortes douleurs, pertes de sang, traumatisme émotionnel, anémie, difficultés à uriner. Les MGFs sont aussi associées à un risque d'attraper le SIDA ou d'autres infections transmises par contact sanguin.
Complications à long terme: stress émotionnel et atteinte à la santé mentale de la femme, douleurs lors des règles, infections récidivantes de la vessie et des voies urinaires et kystes. De plus, dans certains cas, il y'a une nécessité de pratiquer ultérieurement de nouvelles opérations chirurgicales. Par exemple, en cas de fermeture ou de rétrécissement de l'orifice vaginal (type III), il faudra procéder à une réouverture pour permettre à la femme d’avoir des rapports sexuels et d’accoucher.
Une étude réalisé par l'OMS (2006) dans six pays Africain démontre que les femmes qui ont été victime de mutilation génitale ont un risque accru de développer des complications lors de l'accouchement.
Ces complications diffèrent selon le type de MGF réalisé, les outils utilisés mais également le niveau médical de la personne qui est en charge de l'opération.
Complications à court terme: fortes douleurs, pertes de sang, traumatisme émotionnel, anémie, difficultés à uriner. Les MGFs sont aussi associées à un risque d'attraper le SIDA ou d'autres infections transmises par contact sanguin.
Complications à long terme: stress émotionnel et atteinte à la santé mentale de la femme, douleurs lors des règles, infections récidivantes de la vessie et des voies urinaires et kystes. De plus, dans certains cas, il y'a une nécessité de pratiquer ultérieurement de nouvelles opérations chirurgicales. Par exemple, en cas de fermeture ou de rétrécissement de l'orifice vaginal (type III), il faudra procéder à une réouverture pour permettre à la femme d’avoir des rapports sexuels et d’accoucher.
Une étude réalisé par l'OMS (2006) dans six pays Africain démontre que les femmes qui ont été victime de mutilation génitale ont un risque accru de développer des complications lors de l'accouchement.